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David Tomas

De février 2012 à avril 2013

Deux œuvres monumentales créées par David Tomas situées sur la façade latérale du Café Cherrier, coin St-Denis, et sur la façade du Marché Bonsecours. Ces deux œuvres font partie de son exposition Live rightly, die, die…

Live rightly, die, die... traite du phénomène contemporain du tourisme artistique et de l’exotique par la présentation d’œuvres visuelles. Cependant, au lieu de simplement illustrer ou documenter les tendances actuelles pouvant être associées au tourisme et à l’exotique en art contemporain, Live rightly, die, die... tente d’aborder la question du tourisme et de l’exotique à l’intérieur d’un cadre de référence historique excentré, mettant en lumière leurs ambiguïtés spatiotemporelles, de même que leurs tensions et leurs possibilités. C’est à travers ces ambiguïtés et ces tensions que l’exposition soulève aussi la possibilité qu’il existe encore des endroits inconnus, des langues obscures, des rencontres singulières, des espaces dangereux et instables ainsi que des échanges particuliers.


David Tomas est un artiste, anthropologue et théoricien dont l’œuvre interdisciplinaire explore les cultures et transcultures de la science, de la technologie et de leurs systèmes d’imagerie. Il est l’auteur de plusieurs ouvrages dont Beyond the Image Machine: A History of Vision Technologies (Continuum, 2004), A Blinding Flash of Light: Photography Between Disciplines and Media (Éditions Dazibao, 2004), DUCTION, rédigé avec Michèle Thériault (Éditions Carapace, 2001) et Transcultural Space and Transcultural Beings (Westview Press, 1996). Son dernier ouvrage est Escape Velocity: Alternative Instruction Prototype for Playing the Knowledge Game (Wedge Publication, 2012). Il enseigne à l’École des arts visuels et médiatiques de l’UQÀM.


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Exposition

Live rightly, die, die...

Volet I du 1er au 25 mars 2012
Volet II du 29 mars au 29 avril 2012


 
Dazibao remercie l’artiste, le Café Cherrier (Monsieur Jacques Boisseau) et le Marché Bonsecours (Monsieur Claude Pronovost) pour leur précieuse collaboration ainsi que le Musée d’art urbain pour avoir fait don des panneaux.

Dazibao reçoit l’appui financier du Conseil des arts et des lettres du Québec, du Conseil des arts du Canada, du Conseil des arts de Montréal, du ministère de la Culture et des Communications et de la Ville de Montréal.