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the Translation is Approximate Du 11 novembre 2021 au 15 janvier 2022

© Zinnia Naqvi (2021). Photo : Paige Sabourin.

 
 

Curieuse au sujet de l'histoire de l'art pakistanais mais peu familière avec celle-ci, Zinnia s’intéresse à Image and Identity pour répondre à ce besoin, en plus d'être écrit par son oncle, le réputé historien de l'art Akbar Naqvi.

 
 
 

Lecture qui a inspiré l’artiste

Lecture qui a inspiré l’artiste

 
 
 
 

Rencontrez l’artiste : Zinnia Naqvi en conversation avec Althea Thauberger

 

Lecture complémentaire

 

Miroir, miroir…

Dans I Don't Know How to Not Exploit My Experience (2018), le·la spectateur·rice voit son reflet dans le miroir installé sur le mur de la galerie et sur lequel sont gravés les mots qui composent le titre de l'œuvre. Interpellé par le texte et son propre reflet, le·la spectateur·rice est convié·e à se situer à l’égard du dilemme décrit par Naqvi.

Dans the Translation is Approximate (2021) Naqvi s’insère dans l’image en jouant avec son reflet et celui de sa caméra dans un miroir. Le miroir devient un symbole de la réflexion de soi et sur soi, bien que comme toute image, il ne révèle que des fragments de ce qui est vu.

 

Lecture complémentaire

 

Œuvre antérieure Heart-Shaped Box (2016)

 

Pourquoi écrire en spirale ?

Dans I Can Tell That Centering Myself Is Making You Uncomfortable (2019) Naqvi joue avec le sens figuré et littéral de la phrase en demandant au spectateur de tourner sur lui-même afin de lire la phrase inscrite en forme de spirale et ainsi provoquer la désorientation physique ressentie lorsque confronté à des questions complexes.

Travail antérieur: Veena (2016).

Lecture complémentaire